SCENE 33 : « La corne d’abondance »
SCENE 33 : « La corne d’abondance »
LA COLOMBE, apparaît dans le ciel
Oyez ! Oyez, mes amis ! L’aventure continue « pour le plus grand bonheur des enfants ! (Elle se pose sur l’épaule du Comte)
LE COMTE, s’adresse à la colombe
« Ma douce et belle colombe, cueillons de ce pas l’optimisme des enfants de la chance ! »
LA COLOMBE, sort une baguette magique de dessous ses ailes et frappe légèrement sur la tête du Comte
« Notre brave chevalier souhaite-t-il toujours rencontrer l’amour au bout de son voyage ? »
Une corne pousse ensuite sur le front de Monsieur le Comte
LE COMTE, caresse sa corne
« Corne d’abondance, redonne-moi le goût de chanter ! »
Corne d’abondance, redonne-moi le goût de rêver !
Corne d’abondance, redonne-moi le goût d’aimer !
Corne d’abondance, redonne-moi mon paradis ! »
ROBERTO
Quelque chose m’échappe !?
LA COLOMBE, se pose ensuite sur la tête de Roberto
Rien que tu ne saches déjà, mon cher et tendre Roberto : … des choses enfouis au plus profond de l’âme de tous les hommes… au plus profond de son cœur… des choses qu’il faut absolument se remémorer à chaque fois que l’on perd tout espoir en la vie… lorsque les sourires nous abandonnent…
ROBERTO
Explique-toi, ma colombe ! Je ne saisis pas très bien ?!
LA COLOMBE
Seuls les enfants ont cette capacité de nous rappeler pourquoi nous sommes vivants sur terre ! A présent, la parole est à Mesdemoiselles « Double Belleplume » !
LE COMTE, tapote sur son petit coffre à jouet
Ce programme est merveilleux ! N’est-ce pas, mes mais ? Ce que j’ai hâte de retourner dans mon château !
MISS MARYL
Retourner dans votre château, comment cela ? Je vous signale que nous en sortons à l’instant !
LE COMTE, tapote sur son petit coffre à jouet
Ce ne fut pas toujours le cas, Miss Maryl. Il fut un temps où nous étions en exile à la recherche de notre paradis perdu.
FRATERNELIA
Monsieur le Comte est sur la bonne voie.
ROBERTO
Cette histoire est invraisemblable.
SYLVESTRE, tient son ordinateur portable sous le bras
Mon petit doigt me dit « que Monsieur le Comte est de mèche » avec la bohémienne. Mon petit doit me dit aussi qu’ils nous cachent quelque chose d’important.
LE COMTE, tapote sur son petit coffre à jouet
Rien que vous ne sachiez déjà, mon brave Sylvestre.
SYLVESTRE
Que suis-je sensé savoir, Majesté ?
MISS MARYL
Je ne comprends pas ? Pourquoi sommes-nous retournés à la case départ
FRATERNELIA
Maintenant que vous avez découvert le trésor de Spartacus, vous pouvez achever votre voyage, mes amis et goutter enfin aux saveurs de la chance !
LE COMTE, saute de joie
La chance est de retour, Mes amis ! La chance va nous sourire !
FRATERNELIA, plonge ses yeux dans la boule de cristal
« Les Compagnons Balladins achevèrent leur voyage et s’en retournèrent couler des jours paisibles sur leur Terre Promise. »
ROBERTO
Invraisemblable !
FRATERNELIA
La colombe de l’amitié vous accompagnera tout au long du voyage que vous allez entreprendre ! Que la chance soit avec vous, compagnons ! (Elle disparaît du lieu comme par l’effet d’une baguette magique)
LA COLOMBE, apparaît dans le ciel
Oyez ! Oyez, mes amis ! L’aventure continue « pour le plus grand bonheur des enfants ! (Elle se pose sur l’épaule du Comte)
LE COMTE, s’adresse à la colombe
« Ma douce et belle colombe, cueillons de ce pas l’optimisme des enfants de la chance ! »
LA COLOMBE, sort une baguette magique de dessous ses ailes et frappe légèrement sur la tête du Comte
« Notre brave chevalier souhaite-t-il toujours rencontrer l’amour au bout de son voyage ? »
Une corne pousse ensuite sur le front de Monsieur le Comte
LE COMTE, caresse sa corne
« Corne d’abondance, redonne-moi le goût de chanter ! »
Corne d’abondance, redonne-moi le goût de rêver !
Corne d’abondance, redonne-moi le goût d’aimer !
Corne d’abondance, redonne-moi mon paradis ! »
ROBERTO
Quelque chose m’échappe !?
LA COLOMBE, se pose ensuite sur la tête de Roberto
Rien que tu ne saches déjà, mon cher et tendre Roberto : … des choses enfouis au plus profond de l’âme de tous les hommes… au plus profond de son cœur… des choses qu’il faut absolument se remémorer à chaque fois que l’on perd tout espoir en la vie… lorsque les sourires nous abandonnent…
ROBERTO
Explique-toi, ma colombe ! Je ne saisis pas très bien ?!
LA COLOMBE
Seuls les enfants ont cette capacité de nous rappeler pourquoi nous sommes vivants sur terre ! A présent, la parole est à Mesdemoiselles « Double Belleplume » !
FIN DE LA SCENE 33